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Parcours : Né en 1982 dans une famille de la banlieue de Zagreb croulant sous les dettes, Dragan fut envoyé, dès ses trois ans, malgré lui, chez des cousins éloignés de France par des parents irresponsables désirant se libérer d'un poids financier. Profitant d'une éducation centré sur le respect ainsi que de la réussite de tout son parcours scolaire dans les meilleures écoles de la région nantaise, ces années troubles de sa jeune enfance furent loin derrière lui. C'est par ailleurs dans sa ville "adoptive" qu'il fit ses premiers pas footballistiques. Entré dans l'école de football du FC Nantes pour combler les ennuyeux mercredi et samedi après-midi, il se dévoila comme l'un des meilleurs espoirs du centre de formation nantais. Malgré cela, Dragan tomba mystérieusement amoureux de l'autre facette du football: le coaching.
C'est ainsi qu'il commença à passer ses soirées à élaborer des stratégies de match et à aider une équipe de jeune du FCN. De l'autre côté, son talent footballistique ne se perdit pas, il survola toutes les étapes de formation pour s'engager comme professionnel à seulement 17 ans. C'est à ce moment-là qu'il décida, après mure réflexion personnelle, de porter le nom de ses parents adoptifs qu'il considérait comme ses véritables parents. C'est ainsi qu'il arbora fièrement le nom de "KIC" derrière son maillot. Grâce à la politique du FCN de faire jouer ses meilleurs jeunes, Dragan fit ses premières apparitions à seulement 18 ans où il enchaîna de bonnes prestations. L'année suivante fut de grande qualité par Dragan où il marqua pas moins de 13 buts en 28 matchs joués. Malheureusement, Dragan se blessa en fin de saison et son début de saison suivante était compromise. Après son rétablissement, le club avait changé d'entraîneur et celui-ci enchaînait les victoires. Ne voulant pas bouleverser une équipe qui gagne, l'entraineur ne prêta guère attention au retour du buteur croate; Dragan ne réussira plus jamais à rentrer dans l'équipe première ce qui provoqua une longue descente aux enfers. Durant quatre ans, Dragan enchaîna les prêts à Angers, puis Cagliari, ensuite Brest et enfin Orléans où il marqua seulement 20 buts de 2001 à 2005. En fin de contrat à Nantes, il fut piteusement sans club pendant 1 an avant de passer un essai concluant à Carpi. Là-bas, il renaquit en plantant 23 buts en 3 saisons ce qui lui valut un intérêt du RC Lens qu'il acceptât dans l'envie de revenir en France. Mais le sort s'acharna encore sur lui, au bout de 3 matchs durant la saison 2009-2010 où il comptait déjà son premier but, Dragan se fit une rupture des ligaments croisés du genou qui l'écarta définitivement du terrain à seulement 27 ans. Dégouté et blasé du football, il mit en parallèle toute activité professionnelle pendant 2 ans ce qui lui permit de rencontrer sa femme et d'entretenir une relation sur la durée. Mais l'appel du terrain et du ballon fut trop pressant. Le FCN lui proposa le même poste qu'il avait occupé quelques années auparavant du temps où il co-coachait. Et les résultats furent assez impressionnants, il gagna trois années consécutives ,de 2012-13 à 2014-15, le championnat avec les jeunes avant d'être promulgué entraîneur des U17 où il finit second en 2015-16 puis champion en 2016-17 ce qui lui valut une nouvelle promotion avec la direction des U19 qu'il emmena sur la première place du classement dès la première année. À 36 ans, ces performances, pour le moins incroyables, lui valent l'intérêt d'un club allemand et d'un club français mais son rêve et son choix du cœur se porte sur sa ville de toujours et son club qui lui ont tout donnés ; d'autant plus que l'entraîneur actuel vient d'être démis de ses fonctions pour la saison 2018-2019. Mais il sait que la concurrence est rude pour ce club tant convoité et que même si il fait partie de la shortlist susceptible de prendre ce poste, le sort peut encore lui être défavorable...
- Personnalité : Calme, studieux, travailleur et perfectionniste, telles sont les adjectifs qui caractérisent le mieux Dragan. Très silencieux et calme au bord du terrain que ce soit avec ses joueurs ou son staff, il considère que tout le travail tactique a été réalisé durant la semaine précédant le match et qu'en conséquence, il a totale confiance en ses joueurs. Néanmoins, il est contre toute attente très expressif sur les buts de son équipe pouvant passer d'un visage de marbre à une joie débordante. On pourra aussi noter qu'il est toujours debout dans la zone technique et ce peu importe la physionomie du match.
- Clubs préférés : FC Nantes
- Club détestés : Angers et Cagliari
- Joueurs préférés : Aucun si ce n'est ceux qu'il a entraîné et notamment l'équipe de jeune qu'il appelle "ses chouchous"
- Joueurs détestés : Aucun
- Philosophie : N'ayant aucun diplôme d'entraîneur, il doit ses résultats à lui-même. C'est pourquoi il a toujours procédé en prônant un jeu compacte autant en attaque qu'en défense. Adepte en conséquence des systèmes de jeu tels que le 4-3-1-2 ou le 4-3-3 resserré (4-3-2-1), il lui arrive aussi, en cas de besoin, d'utiliser le 4-2-3-1 offensif. Si la victoire est au bout, mettre le bus ne le gène pas. Son atout ? La gestion des jeunes. Ayant encadré et fait gagner plusieurs catégories de jeunes, il a parfaitement géré les "gros melons" et les solistes qui veulent tout prouver pour recentrer tout le monde dans le même objectif : la victoire collective. C'est pourquoi, il va plus facilement intégrer des jeunes dans l'équipe pro d'autant plus qu'il a été lui-même quelques années auparavant injustement laisser de côté. Connaissant presque tous les jeunes du FCN sauf ceux jouant déjà dans l'équipe B des professionnels, cela conforte son envie pour ce poste car tous le considère comme "un père".
C'est ainsi qu'il commença à passer ses soirées à élaborer des stratégies de match et à aider une équipe de jeune du FCN. De l'autre côté, son talent footballistique ne se perdit pas, il survola toutes les étapes de formation pour s'engager comme professionnel à seulement 17 ans. C'est à ce moment-là qu'il décida, après mure réflexion personnelle, de porter le nom de ses parents adoptifs qu'il considérait comme ses véritables parents. C'est ainsi qu'il arbora fièrement le nom de "KIC" derrière son maillot. Grâce à la politique du FCN de faire jouer ses meilleurs jeunes, Dragan fit ses premières apparitions à seulement 18 ans où il enchaîna de bonnes prestations. L'année suivante fut de grande qualité par Dragan où il marqua pas moins de 13 buts en 28 matchs joués. Malheureusement, Dragan se blessa en fin de saison et son début de saison suivante était compromise. Après son rétablissement, le club avait changé d'entraîneur et celui-ci enchaînait les victoires. Ne voulant pas bouleverser une équipe qui gagne, l'entraineur ne prêta guère attention au retour du buteur croate; Dragan ne réussira plus jamais à rentrer dans l'équipe première ce qui provoqua une longue descente aux enfers. Durant quatre ans, Dragan enchaîna les prêts à Angers, puis Cagliari, ensuite Brest et enfin Orléans où il marqua seulement 20 buts de 2001 à 2005. En fin de contrat à Nantes, il fut piteusement sans club pendant 1 an avant de passer un essai concluant à Carpi. Là-bas, il renaquit en plantant 23 buts en 3 saisons ce qui lui valut un intérêt du RC Lens qu'il acceptât dans l'envie de revenir en France. Mais le sort s'acharna encore sur lui, au bout de 3 matchs durant la saison 2009-2010 où il comptait déjà son premier but, Dragan se fit une rupture des ligaments croisés du genou qui l'écarta définitivement du terrain à seulement 27 ans. Dégouté et blasé du football, il mit en parallèle toute activité professionnelle pendant 2 ans ce qui lui permit de rencontrer sa femme et d'entretenir une relation sur la durée. Mais l'appel du terrain et du ballon fut trop pressant. Le FCN lui proposa le même poste qu'il avait occupé quelques années auparavant du temps où il co-coachait. Et les résultats furent assez impressionnants, il gagna trois années consécutives ,de 2012-13 à 2014-15, le championnat avec les jeunes avant d'être promulgué entraîneur des U17 où il finit second en 2015-16 puis champion en 2016-17 ce qui lui valut une nouvelle promotion avec la direction des U19 qu'il emmena sur la première place du classement dès la première année. À 36 ans, ces performances, pour le moins incroyables, lui valent l'intérêt d'un club allemand et d'un club français mais son rêve et son choix du cœur se porte sur sa ville de toujours et son club qui lui ont tout donnés ; d'autant plus que l'entraîneur actuel vient d'être démis de ses fonctions pour la saison 2018-2019. Mais il sait que la concurrence est rude pour ce club tant convoité et que même si il fait partie de la shortlist susceptible de prendre ce poste, le sort peut encore lui être défavorable...
- Personnalité : Calme, studieux, travailleur et perfectionniste, telles sont les adjectifs qui caractérisent le mieux Dragan. Très silencieux et calme au bord du terrain que ce soit avec ses joueurs ou son staff, il considère que tout le travail tactique a été réalisé durant la semaine précédant le match et qu'en conséquence, il a totale confiance en ses joueurs. Néanmoins, il est contre toute attente très expressif sur les buts de son équipe pouvant passer d'un visage de marbre à une joie débordante. On pourra aussi noter qu'il est toujours debout dans la zone technique et ce peu importe la physionomie du match.
- Clubs préférés : FC Nantes
- Club détestés : Angers et Cagliari
- Joueurs préférés : Aucun si ce n'est ceux qu'il a entraîné et notamment l'équipe de jeune qu'il appelle "ses chouchous"
- Joueurs détestés : Aucun
- Philosophie : N'ayant aucun diplôme d'entraîneur, il doit ses résultats à lui-même. C'est pourquoi il a toujours procédé en prônant un jeu compacte autant en attaque qu'en défense. Adepte en conséquence des systèmes de jeu tels que le 4-3-1-2 ou le 4-3-3 resserré (4-3-2-1), il lui arrive aussi, en cas de besoin, d'utiliser le 4-2-3-1 offensif. Si la victoire est au bout, mettre le bus ne le gène pas. Son atout ? La gestion des jeunes. Ayant encadré et fait gagner plusieurs catégories de jeunes, il a parfaitement géré les "gros melons" et les solistes qui veulent tout prouver pour recentrer tout le monde dans le même objectif : la victoire collective. C'est pourquoi, il va plus facilement intégrer des jeunes dans l'équipe pro d'autant plus qu'il a été lui-même quelques années auparavant injustement laisser de côté. Connaissant presque tous les jeunes du FCN sauf ceux jouant déjà dans l'équipe B des professionnels, cela conforte son envie pour ce poste car tous le considère comme "un père".